Les cailloux remplissent le chemin du début à la fin
La verdure de cet endroit n'a nul concurrent
Le silence est tel que la respiration devient sonore
La douce brise fraîche nous caresse en sifflant
Ce buisson attire toute mon attention grâce à ses mystérieuses baies rouges
Le chemin est maintenant bitumé mais la nature reste à nos côtés
Un grillage nous arrête donc le poème s'achève
Victor
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